Dubai Telegraph - JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique

EUR -
AED 3.827558
AFN 70.343739
ALL 96.964833
AMD 406.16103
ANG 1.879506
AOA 951.933123
ARS 1046.501742
AUD 1.602528
AWG 1.878327
AZN 1.775652
BAM 1.957994
BBD 2.10556
BDT 124.618464
BGN 1.957775
BHD 0.392718
BIF 3016.786406
BMD 1.042068
BND 1.405609
BOB 7.20618
BRL 6.063693
BSD 1.042869
BTN 88.025462
BWP 14.247172
BYN 3.412907
BYR 20424.529726
BZD 2.102106
CAD 1.45641
CDF 2991.777155
CHF 0.931343
CLF 0.037263
CLP 1028.187912
CNY 7.549824
CNH 7.564496
COP 4605.53346
CRC 531.195309
CUC 1.042068
CUP 27.614798
CVE 110.77587
CZK 25.3473
DJF 185.196707
DKK 7.457736
DOP 62.993411
DZD 139.652412
EGP 51.764412
ERN 15.631018
ETB 128.595208
FJD 2.371695
FKP 0.822522
GBP 0.831596
GEL 2.855673
GGP 0.822522
GHS 16.46869
GIP 0.822522
GMD 73.987187
GNF 8994.087925
GTQ 8.050022
GYD 218.177652
HKD 8.112285
HNL 26.264109
HRK 7.43334
HTG 136.893416
HUF 411.752671
IDR 16594.930403
ILS 3.861429
IMP 0.822522
INR 87.996951
IQD 1365.629908
IRR 43863.244665
ISK 145.493914
JEP 0.822522
JMD 166.136188
JOD 0.738935
JPY 161.29026
KES 134.951747
KGS 90.142827
KHR 4221.417198
KMF 492.381009
KPW 937.860664
KRW 1463.470058
KWD 0.320801
KYD 0.869086
KZT 520.711055
LAK 22883.8102
LBP 93317.17572
LKR 303.520154
LRD 187.833126
LSL 18.872246
LTL 3.076956
LVL 0.630337
LYD 5.090542
MAD 10.435216
MDL 19.021591
MGA 4867.499257
MKD 61.527825
MMK 3384.595706
MNT 3540.946475
MOP 8.361391
MRU 41.594178
MUR 48.821273
MVR 16.100342
MWK 1809.030135
MXN 21.349193
MYR 4.655442
MZN 66.592021
NAD 18.872242
NGN 1768.080391
NIO 38.317227
NOK 11.54085
NPR 140.841219
NZD 1.787086
OMR 0.401188
PAB 1.042894
PEN 3.953646
PGK 4.19589
PHP 61.445013
PKR 289.490304
PLN 4.335151
PYG 8141.12374
QAR 3.793652
RON 4.97567
RSD 116.997165
RUB 107.700343
RWF 1428.675013
SAR 3.912282
SBD 8.721607
SCR 14.790679
SDG 626.807638
SEK 11.500881
SGD 1.404421
SHP 0.822522
SLE 23.676168
SLL 21851.646573
SOS 595.545589
SRD 36.987196
STD 21568.700427
SVC 9.125139
SYP 2618.22657
SZL 18.882654
THB 35.941305
TJS 11.106407
TMT 3.657658
TND 3.314301
TOP 2.440631
TRY 35.994243
TTD 7.082938
TWD 33.918306
TZS 2771.900812
UAH 43.142936
UGX 3853.318406
USD 1.042068
UYU 44.349277
UZS 13395.782472
VES 48.217013
VND 26499.785252
VUV 123.716388
WST 2.909027
XAF 656.708727
XAG 0.033301
XAU 0.000385
XCD 2.816241
XDR 0.793308
XOF 648.166544
XPF 119.331742
YER 260.416496
ZAR 18.903043
ZMK 9379.864807
ZMW 28.808701
ZWL 335.54542
  • AEX

    13.6800

    879.8

    +1.58%

  • BEL20

    69.4500

    4228.29

    +1.67%

  • PX1

    41.8400

    7255.01

    +0.58%

  • ISEQ

    17.2700

    9613.97

    +0.18%

  • OSEBX

    3.8100

    1468.66

    +0.26%

  • PSI20

    48.3400

    6409

    +0.76%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    86.5000

    2989.04

    +2.98%

  • N150

    24.5300

    3295.3

    +0.75%

JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique
JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique

JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique

Quatre ans après l'argent olympique et malgré une olympiade chamboulée, Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron s'avancent en favoris pour l'or en danse sur glace aux Jeux de Pékin (4-20 février) et ont concentré leurs efforts sur cette quête ultime.

Taille du texte:

Double champion olympique en titre, le Japonais Yuzuru Hanyu rêve lui de devenir le premier patineur à s'offrir trois sacres olympiques consécutifs depuis près d'un siècle. Mais gare à sa cheville droite récalcitrante, et, au-delà, au triple champion du monde en titre, l'Américain Nathan Chen.

. Papadakis et Cizeron ont "toutes les armes"

A 26 ans pour elle et 27 ans pour lui, l'or olympique, le seul qui échappe encore aux quadruples champions du monde (2015, 2016, 2018 et 2019) et quintuples champions d'Europe (2015-2019), est l'objectif N.1 des danseurs français.

Papadakis et Cizeron n'en font pas mystère: "Automatiquement, après la médaille d'argent à Pyeongchang, où on a raté de très peu la médaille d'or, on est vraiment déterminés à l'obtenir, affirme-t-il à l'AFP. C'est vraiment ça qui nous anime cette année et depuis quatre ans."

"On a gagné en maturité, on a gagné en technicité, artistiquement on est encore meilleurs: on a vraiment toutes les armes pour", estime Cizeron.

Pourtant, entre première défaite depuis près de deux ans début 2020 aux Championnats d'Europe --venue des patins des Russes Victoria Sinitsina et Nikita Katsalapov, leurs principaux rivaux à Pékin--, surmenage pour elle et pandémie de Covid-19, l'olympiade n'a rien eu d'habituel. Papadakis et Cizeron sont même restés vingt mois sans patiner en compétition entre janvier 2020 et octobre 2021.

Ils en ont profité pour s'atteler plus tôt que jamais à la confection de leurs programmes olympiques. Et, depuis leur retour, ont réaffirmé leur statut de sortie en sortie.

"C'est sans aucun doute les deux programmes les plus aboutis et les plus complexes qu'on ait faits", résume Papadakis.

"Il y a eu plus de réflexion, de temps de travail. On a pris le temps de prendre le temps, explique à l'AFP leur entraîneur Romain Haguenauer. Je pense qu'on est arrivés à quelque chose d'optimal pour ces JO."

La glace française n'a plus connu l'or olympique depuis vingt ans (Anissina et Peizerat déjà en danse sur glace en 2002).

. Hanyu-Chen, duel de haut vol

"Les Jeux olympiques ne sont pas une exhibition. C'est l'endroit où il faut gagner", a rappelé Hanyu il y a un mois.

Comme il y a quatre ans, le gracile Japonais s'attaque à un défi historique: après le premier doublé olympique depuis plus de six décennies, le premier triplé depuis 94 ans exactement (Gillis Graström en 1920, 1924 et 1928).

Mais comme il y a quatre ans, l'état de sa cheville pose question. Blessée en novembre à l'entraînement, elle l'a empêché de patiner en compétition cet hiver, à l'exception des Championnats du Japon fin décembre.

Réussira-t-il à s'en relever juste à temps une seconde fois? Réponse les 8 et 10 février.

L'autre os, pour Hanyu, s'appelle Chen. A 22 ans, l'Américain, à l'origine de l'accélération de la course aux quadruples sauts depuis six ans et sacré champion du monde en 2018, 2019 et 2021, est le roi de l'olympiade qui s'achève: il est resté invaincu pendant trois ans et demi entre le printemps 2018 et octobre dernier et il ne s'est plus incliné face au Japonais depuis les JO-2018 (5e).

"Extrêmement déterminé", Hanyu fourbit une arme potentiellement fatale pour lui tenir tête: le quadruple Axel, le plus complexe des "quads" puisqu'il s'agit en fait de faire quatre tours et demi en l'air, jusque-là jamais réussi par personne en compétition.

. Valieva, la toupie russe

A 15 ans et pour son premier hiver en seniors, Kamila Valieva, sacrée championne d'Europe mi-janvier, est invaincue et s'est emparée des trois records du monde de notes (programme court, programme libre, score total).

Comment? A coup de "quads" en série, qui ont déboulé dans le patinage féminin au fil de l'olympiade.

"Elle est incroyable. Personne ne peut nier que ses capacités athlétiques sont juste extraordinaires", admire le patineur américain Jason Brown.

Avec ses deux autres "quad girls" Anna Shcherbakova et Alexandra Trusova, 17 ans et produits comme Valieva de l'usine à championnes moscovite de la sévère Eteri Tutberidze, la Russie peut même rêver de triplé.

. Les Chinois face au défi russe

Doubles médaillés d'or mondial (2017 et 2019) et vice-champions du monde et olympiques sortants, les Chinois Wenjing Sui et Cong Han ont les moyens d'apporter au pays hôte la plus précieuse des médailles. Mais gare au trio de couples russes en lice, mené par Anastasia Mishina et Aleksandr Galliamov, champions du monde et d'Europe en titre.

I.Uddin--DT