Dubai Telegraph - F1: Ferrari dans le dur

EUR -
AED 3.891243
AFN 72.040341
ALL 98.635
AMD 409.444135
ANG 1.900687
AOA 966.193845
ARS 1057.82821
AUD 1.62799
AWG 1.904313
AZN 1.796616
BAM 1.956489
BBD 2.12945
BDT 126.024364
BGN 1.954694
BHD 0.399258
BIF 3069.677982
BMD 1.059423
BND 1.417812
BOB 7.287565
BRL 6.089887
BSD 1.054621
BTN 88.993028
BWP 14.388201
BYN 3.450847
BYR 20764.689712
BZD 2.125849
CAD 1.484575
CDF 3040.544134
CHF 0.935787
CLF 0.037352
CLP 1030.660001
CNY 7.666725
CNH 7.659273
COP 4658.632296
CRC 537.094141
CUC 1.059423
CUP 28.074708
CVE 110.762926
CZK 25.290756
DJF 187.804976
DKK 7.460244
DOP 64.14837
DZD 141.47002
EGP 52.390371
ERN 15.891344
ETB 129.249114
FJD 2.40293
FKP 0.836221
GBP 0.83562
GEL 2.897492
GGP 0.836221
GHS 16.908563
GIP 0.836221
GMD 75.219182
GNF 9143.879832
GTQ 8.147868
GYD 220.63767
HKD 8.246151
HNL 26.618005
HRK 7.557138
HTG 138.540077
HUF 406.320628
IDR 16771.724634
ILS 3.961522
IMP 0.836221
INR 89.415615
IQD 1388.373769
IRR 44593.770019
ISK 144.495063
JEP 0.836221
JMD 167.380502
JOD 0.751239
JPY 163.795279
KES 136.13193
KGS 91.637115
KHR 4291.72183
KMF 492.366484
KPW 953.480248
KRW 1474.769331
KWD 0.325665
KYD 0.878818
KZT 526.210207
LAK 23257.512363
LBP 94871.324434
LKR 307.261064
LRD 193.52726
LSL 19.302683
LTL 3.1282
LVL 0.640834
LYD 5.175303
MAD 10.608533
MDL 19.162927
MGA 4942.207902
MKD 61.547538
MMK 3440.964398
MNT 3599.919108
MOP 8.456376
MRU 42.334197
MUR 49.266791
MVR 16.368523
MWK 1839.158651
MXN 21.431263
MYR 4.736153
MZN 67.695693
NAD 19.302537
NGN 1767.148913
NIO 38.949701
NOK 11.655909
NPR 142.383467
NZD 1.797481
OMR 0.407905
PAB 1.054571
PEN 4.028955
PGK 4.233491
PHP 62.151573
PKR 294.206267
PLN 4.312768
PYG 8220.281714
QAR 3.856935
RON 4.97632
RSD 116.996315
RUB 105.6785
RWF 1450.350011
SAR 3.977207
SBD 8.889003
SCR 14.844436
SDG 637.246991
SEK 11.559465
SGD 1.418207
SHP 0.836221
SLE 23.945252
SLL 22215.574452
SOS 602.717862
SRD 37.508871
STD 21927.915984
SVC 9.228336
SYP 2661.831781
SZL 19.302292
THB 36.630078
TJS 11.22158
TMT 3.718575
TND 3.333273
TOP 2.481274
TRY 36.603592
TTD 7.159588
TWD 34.404718
TZS 2811.689396
UAH 43.677088
UGX 3872.363173
USD 1.059423
UYU 45.225921
UZS 13597.693572
VES 48.454134
VND 26925.234134
VUV 125.776821
WST 2.957476
XAF 656.194191
XAG 0.034032
XAU 0.000406
XCD 2.863143
XDR 0.80229
XOF 656.305776
XPF 119.331742
YER 264.72331
ZAR 19.014416
ZMK 9536.074876
ZMW 29.08261
ZWL 341.133756
  • AEX

    2.8500

    865.37

    +0.33%

  • BEL20

    -6.6600

    4153.5

    -0.16%

  • PX1

    8.7200

    7278.23

    +0.12%

  • ISEQ

    -3.8900

    9709.61

    -0.04%

  • OSEBX

    -3.1800

    1441.81

    -0.22%

  • PSI20

    -14.7800

    6413.45

    -0.23%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    -18.4900

    2783.54

    -0.66%

  • N150

    -2.3200

    3310.83

    -0.07%

F1: Ferrari dans le dur
F1: Ferrari dans le dur / Photo: Geoff Robins - AFP

F1: Ferrari dans le dur

Abandons multiples, stratégie ratée, fiabilité en question et désormais pénalité: après un début dominateur, Ferrari est distancée par Red Bull au tiers de la saison de F1 et Charles Leclerc partira avec un handicap de dix places au Canada.

Taille du texte:

Fête le samedi, gueule de bois le dimanche: voilà en résumé les derniers week-ends de Charles Leclerc. Auteur des quatre dernières pole positions, le Monégasque n'a converti aucune de ces performances en victoire dominicale...

Pire, Leclerc a dû abandonner deux fois (Espagne et Azerbaïdjan) sur casse moteur. Avec le podium perdu chez lui à Monaco, la faute à une stratégie peu inspirée, ça commence à faire beaucoup.

Leclerc avait commencé la saison par deux succès en trois courses et une deuxième place, pendant que Max Verstappen connaissait des déboires mécaniques sur sa Red Bull - décidément.

Fin avril après quatre GP, le Monégasque était encore solide leader avec 27 points d'avance sur Verstappen. Le printemps a passé, les rôles ont changé: Verstappen est premier avec 34 points d'avance sur Leclerc, rétrogradé 3e derrière l'autre Red Bull de Sergio Pérez.

- "Irréparable" -

Conséquence de la nouvelle casse de Bakou, l'unité de puissance jugée "irréparable" par la Scuderia a subi d'importants changements. Trop: l'électronique de contrôle du moteur, changé une troisième fois déjà depuis le début de saison, contre deux pièces autorisées pour toute l'année, met Ferrari en infraction.

Pénalisé, Leclerc partira 11e au mieux dimanche. Pour la pole, Verstappen, qui n'avait pas besoin de ça, se battra avec son équipier Sergio Pérez et l'autre Ferrari, Carlos Sainz, peu à son aise en ce début de saison.

Pour Leclerc, la sanction pourrait encore s'alourdir si le turbo de sa monoplace est changé à son tour (ce serait alors le quatrième, un de trop) - et il le sera tôt ou tard. Si ce n'est à Montréal, ce sera pour une des prochaines courses européennes, causant une nouvelle pénalité.

Après Bakou, le patron de la Scuderia Mattia Binotto ne voulait pas dramatiser: "Nous n'avons pas été euphoriques au début de la saison, alors nous n'allons pas être abattus maintenant."

Parler de sacre mondial pour Ferrari est délicat. L'écurie la plus titrée de l'histoire, la plus populaire aussi, n'a plus gagné de titre pilote depuis 2007, de titre constructeur depuis 2008.

En 2020, le cheval ne cabrait plus: sixièmes mondiales, les rouges essuyaient leur pire saison en quarante ans. En 2021, les bases d'une renaissance ont été posées, avec une troisième place derrière les intouchables Mercedes et Red Bull.

Surtout, Ferrari préparait son retour en coulisses. A l'usine de Maranello, où Binotto restait parfois les week-ends de course, au lieu de venir en piste. La tête déjà à 2022.

"Nous avons beaucoup poussé pendant l'hiver pour développer la voiture", a relevé Binotto. Et le résultat est là. La performance est au rendez-vous, la Ferrari va vite, quand elle voit le drapeau à damiers.

"La fiabilité est toujours un facteur, un facteur clé dans la bataille (pour le titre), au même titre que la performance", a-t-il ajouté.

La pénalité de ce week-end lui donne raison: les défauts de fiabilité se payent cher.

"Il est évident que nous ne sommes pas dans la meilleure situation possible", avait relevé Leclerc vendredi matin, quand la sanction n'était pas encore tombée.

"C'est à nous de choisir le meilleur circuit" pour prendre cette pénalité, avait-il poursuivi, expliquant que Montréal n'était pas une mauvaise option, en raison des possibilités de dépassements du circuit Gilles-Villeneuve.

De la 11e place, ou de plus loin encore dimanche, la stratégie sera nouvelle pour Leclerc, abonné à la pole cette saison (six sur huit courses): reculer pour mieux cabrer.

S.Saleem--DT