Dubai Telegraph - Tour de France: les tops et flops de la 111e édition

EUR -
AED 3.871792
AFN 71.988267
ALL 98.094382
AMD 410.868674
ANG 1.906245
AOA 961.366091
ARS 1052.538522
AUD 1.63374
AWG 1.892163
AZN 1.791793
BAM 1.955651
BBD 2.135527
BDT 126.390363
BGN 1.952833
BHD 0.397253
BIF 3123.6989
BMD 1.05413
BND 1.418
BOB 7.308339
BRL 6.090834
BSD 1.057624
BTN 88.860525
BWP 14.45924
BYN 3.46122
BYR 20660.940722
BZD 2.131927
CAD 1.48597
CDF 3020.080994
CHF 0.935899
CLF 0.037419
CLP 1032.498702
CNY 7.636746
CNH 7.643536
COP 4665.229874
CRC 538.289597
CUC 1.05413
CUP 27.934435
CVE 110.256594
CZK 25.283315
DJF 188.336534
DKK 7.460645
DOP 63.728768
DZD 140.897653
EGP 52.087745
ERN 15.811944
ETB 128.088825
FJD 2.402391
FKP 0.832042
GBP 0.835303
GEL 2.883024
GGP 0.832042
GHS 16.895471
GIP 0.832042
GMD 74.842956
GNF 9114.996789
GTQ 8.168377
GYD 221.16999
HKD 8.205487
HNL 26.711484
HRK 7.51938
HTG 139.049951
HUF 408.939117
IDR 16704.42328
ILS 3.935836
IMP 0.832042
INR 88.980875
IQD 1385.487793
IRR 44370.953773
ISK 144.321046
JEP 0.832042
JMD 167.976754
JOD 0.747696
JPY 163.481796
KES 136.196639
KGS 91.176507
KHR 4272.998495
KMF 491.830524
KPW 948.716266
KRW 1472.287019
KWD 0.324303
KYD 0.881441
KZT 525.604912
LAK 23240.117841
LBP 94711.629543
LKR 308.989373
LRD 194.601471
LSL 19.241542
LTL 3.11257
LVL 0.637633
LYD 5.165631
MAD 10.544046
MDL 19.217444
MGA 4919.834915
MKD 61.531399
MMK 3423.771915
MNT 3581.932422
MOP 8.480813
MRU 42.222783
MUR 49.597142
MVR 16.286331
MWK 1834.047158
MXN 21.528331
MYR 4.723033
MZN 67.361023
NAD 19.241815
NGN 1757.002205
NIO 38.919986
NOK 11.700992
NPR 142.18188
NZD 1.805341
OMR 0.405862
PAB 1.057604
PEN 4.015094
PGK 4.252898
PHP 61.869506
PKR 293.660482
PLN 4.330839
PYG 8252.409945
QAR 3.855606
RON 4.976757
RSD 117.001058
RUB 105.594971
RWF 1452.671927
SAR 3.957211
SBD 8.844589
SCR 14.357493
SDG 634.050841
SEK 11.604944
SGD 1.417272
SHP 0.832042
SLE 23.821761
SLL 22104.576241
SOS 604.488318
SRD 37.227115
STD 21818.355035
SVC 9.254382
SYP 2648.532167
SZL 19.235081
THB 36.735325
TJS 11.274326
TMT 3.699995
TND 3.336846
TOP 2.468877
TRY 36.397689
TTD 7.181521
TWD 34.318272
TZS 2803.98454
UAH 43.688434
UGX 3881.648812
USD 1.05413
UYU 45.385679
UZS 13537.967808
VES 48.987149
VND 26790.704513
VUV 125.148388
WST 2.942699
XAF 655.938101
XAG 0.034317
XAU 0.000407
XCD 2.848838
XDR 0.796758
XOF 655.910102
XPF 119.331742
YER 263.400643
ZAR 19.083868
ZMK 9488.429759
ZMW 29.037648
ZWL 339.42931
  • AEX

    -1.5500

    860.95

    -0.18%

  • BEL20

    0.4200

    4160.42

    +0.01%

  • PX1

    -8.7200

    7260.79

    -0.12%

  • ISEQ

    -10.6800

    9702.27

    -0.11%

  • OSEBX

    -7.0800

    1437.98

    -0.49%

  • PSI20

    -3.8600

    6424.28

    -0.06%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    -132.9600

    2802.09

    -4.53%

  • N150

    -8.9500

    3304.42

    -0.27%

Tour de France: les tops et flops de la 111e édition
Tour de France: les tops et flops de la 111e édition / Photo: Marco BERTORELLO - AFP

Tour de France: les tops et flops de la 111e édition

Les belles histoires, chargées d'émotions, se sont multipliées sur le parcours explosif du Tour de France, mais le suspense a été limité et certaines stars ont manqué leur rendez-vous: retour sur les tops et flops de cette 111e édition.

Taille du texte:

. Le record de Cavendish

Il était (re)venu pour ça, et il a eu ce qu'il voulait. Le sprinteur britannique Mark Cavendish s'est emparé seul du record de victoires d'étapes dans le Tour de France en décrochant un 35e succès à Saint-Vulbas lors de la cinquième étape. Il dépasse ainsi la légende belge Eddy Merckx, avec qui il co-détenait ce record. Un an après avoir quitté ce qui devait être son dernier Tour sur abandon à la suite d'une chute, le "Cav'" s'est de nouveau aligné, avec succès. "Beaucoup pensaient que je ne pourrais plus gagner", a soufflé le roi du sprint après son nouveau sacre. Et l'homme de l'île de Man a mis un point d'honneur à terminer une Grande boucle extrêmement montagneuse, finissant en larmes au sommet du col de la Couillole, dernier obstacle avant de voir Nice et la promenade... des Anglais.

. Un parcours explosif

Avec le premier Grand départ de l'histoire donné en Italie, les organisateurs espéraient des débuts en feu d'artifice. Sur les terres sublimes des légendes nationales Marco Pantani et Gino Bartali, les Italiens se sont fait voler la vedette par les Français Romain Bardet et Kévin Vauquelin. Le Galibier dès la quatrième étape, puis une inédite étape tracée sur des chemins blancs autour de Troyes ont permis d'établir une première hiérarchie au classement général, au beau milieu de plusieurs étapes réservées au sprinteur. La descente vers le Sud a débouché sur un week-end dantesque dans les Pyrénées, avant le final dans les Alpes et autour de Nice, où Tadej Pogacar n'a laissé aucune chance à ses rivaux.

. Des émotions à la pelle

Les larmes ont beaucoup coulé lors de cette 111e édition du Tour. Plusieurs grands noms du peloton se sont laissés déborder par leurs émotions, à l'image de Cavendish et Romain Bardet, dont les yeux ont fait plus que s'embuer au moment de dire adieu à la course qui a dicté leur vie pendant des années. Le grimpeur français s'est effondré au sommet du col de la Couillole, rattrapé d'un coup par la réalité, alors qu'il avait annoncé quelques jours avant le départ florentin qu'il s'apprêtait à disputer son dernier Tour. Comme Cavendish, il quitte l'épreuve avec une victoire d'étape supplémentaire dans sa musette. Trois jours avant, les larmes avaient aussi coulé pour Victor Campenaerts, infatigable rouleur belge. "Campy" avait ému son monde en s'emparant de son téléphone sitôt la ligne d'arrivée franchie en tête à Barcelonnette, pour partager le moment avec sa femme et son fils Gustaaf tout juste né. Et le baroudeur français Julien Bernard a lui aussi eu droit à sa séquence émotions, célébré par son fan club et sa famille lors du contre-la-montre entre Nuits-Saint-Georges et Gevrey-Chambertin, où il avait même pris le temps de poser pied à terre pour embrasser sa femme.

. Un suspense écourté

Les organisateurs en rêvaient: tout allait se jouer lors de l'ultime chrono niçois, jusqu'aux derniers instants, la Promenade des Anglais servant de théâtre à la dramaturgie finale de ce Tour pour sacrer le maillot jaune. Une fin rêvée, après une bataille épique espérée dans les Alpes les jours précédant ce contre-la-montre. Mais l'ultra-domination de Tadej Pogacar a balayé ce scénario idéal. A une semaine du terme, le Slovène avait déjà repoussé son principal rival Jonas Vingegaard à plus de trois minutes, et il était difficile d'imaginer le Danois, à la condition physique incertaine, capable de renverser le Tour. Il n'en fut rien, et les dernières étapes ont viré à la démonstration de la part de "Pogi", de plus en plus imbattable à mesure qu'il approchait de son domicile monégasque et d'un doublé Giro-Tour inédit au XXIe siècle.

. Des stars discrètes

Les frères ennemis du cyclo-cross et des classiques Wout Van Aert et Mathieu van der Poel ont été discrets lors de ce Tour, souvent cantonnés à un rôle d'équipier, le champion du monde servant par exemple de poisson-pilote de luxe pour son sprinteur Jasper Philipsen. Mais les deux hommes ont pu compter leurs coups de pédale, alors qu'un de leurs objectifs de leur saison approche: les JO à Paris.

. Le fantôme d'Ineos

L'ancien rouleau-compresseur du peloton n'est plus que l'ombre de lui-même. Aucune victoire d'étape, et un poids négligeable au général avec Carlos Rodriguez comme leader, relégué à plus de 25 minutes de Pogacar. La formation britannique n'a jamais existé, Egan Bernal se montrant trop court et Tom Pidcock ayant été contraint à l'abandon, malade avant la 14e étape. Le temps du "train Sky" semble bien loin. L'équipe Décathlon-AG2R, irrésistible lors des premiers mois de l'année, a elle aussi connu un Tour de France difficile, sans aucune victoire au compteur.

B.Gopalan--DT